Diane, qui n’est que douceur, semble isolée et détachée,
de ses nymphes ensorcelées par une musique organique.
Mouvements compulsifs et duels de celles-ci prennent vie,
peu à peu dans le corps de Diane, qui se laisse porter par le rythme du groupe.
Mais cette domination ne saurait être unilatérale,
et Diane sème un peu de son calme, et toutes se laissent toucher par sa caresse et sa légèreté.
Calme et sensualité se confrontent alors à la brutalité,
les différentes qualités et énergies s’influencent,
s’échangent, se heurtent, et se fondent les unes dans les autres.